Souvent, la paume de ma main se couvre de la poudre des ailes des papillons prisonniers du mauvais côté de la vitre. Ils se lovent dans ma main, y restent quelques secondes puis s’envolent… Un jour, un plus vert que les autres, totalement différent, s’est envolé lui aussi, la liberté retrouvée. Et pourtant, il est revenu sur moi, s’est envolé de nouveau, s’est mis à danser autour de moi et s’est laissé embrasser … Peut-être une fée ?
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